18mai
Des chercheurs Inserm de l’équipe d’épidémiologie des maladies allergiques et respiratoires (EPAR) ont analysé les données sur les risques de naissances d’enfants accusant un retard de croissance liés à la pollution atmosphérique. Cette étude révèle l’impact de la pollution atmosphérique durant la grossesse sur le foetus (notamment en terme de retard de croissance). L’étude estime également que la prise en charge de ces enfants sur l’ensemble de leur vie coûtera 1.2 milliard d’euros.
Auteur : Isabella Annesi-Maesano (INSERM – Epidémiologie des maladies allergiques et respiratoires)
Date de publication : 15.05.2018